Violences du 1er mai: les casseurs doivent être punis avec la plus grande sévérité !
Le défilé du 1er mai a été émaillé de heurts entre forces de l’ordre et «black blocs». L'UPF demande au gouvernement de mettre fin à ce laxisme d’Etat face aux casseurs.
Paris a été une nouvelle fois le théâtre de violences lors du traditionnel défilé du 1er mai.
💥🇫🇷1ER MAI - Des manifestants ont tenté d’attaquer le commissariat du XIIIe arr. de #Paris avant d’être repoussé par des policiers. Un CRS a été hospitalisé après avoir reçu un pavé sur la tête (BFMTV). pic.twitter.com/i1XVYlt2Gr
— 🌐Le Globe (@LeGlobe_info) May 1, 2019
Pour l'UPF, il est incompréhensible que le gouvernement n’ait pas pris les mesures qui s’imposent pour interdire les rassemblements de ces casseurs alors qu'un appel à une journée "jaune et noire", événement intitulé "1er mai, acte ultime : Paris, capitale de l'émeute", a été lancé quelques jours plutôt sur les réseaux sociaux.
La question de la gestion du maintien de l'ordre pendant les manifestations se pose. Depuis plusieurs mois, des groupuscules violents sèment régulièrement le chaos dans nos villes lors des manifestations des "Gilets jaunes": mobilier urbain brûlés, enseignes pillées et saccagées. Nos forces de l’ordre sont éprouvées.
L'UPF demande au ministre de l’intérieur, Mr Castaner, la dissolution des black blocs et autres groupes de casseurs qui malgré les multiples violences qu’ils génèrent, continuent de pouvoir agir en toute impunité.
Il est urgent de rétablir l'autorité de l'Etat. Les casseurs doivent être punis avec la plus grande sévérité. Si manifester est une composante majeure de la liberté d’expression, la préservation de l’ordre public est un élément indispensable au bon fonctionnement de toute société.
L'UPF